Les voies de communication comprennent 687 kilomètres et demi savoir :
4 | chemins de fer |
57 | kil. |
2 | routes nationales |
42 | |
5 | routes départementales |
91 | 1,2 |
3 | chemins vicinaux de grande communication |
86 | |
9 | chemins d’intérêt commun |
156 | |
208 | chemins vicinaux ordinaires |
243 | |
Canal du Rhône au Rhin |
10 |
XIII
Dictionnaire des communes.
Andelnans, 294 h., c. de Belfort.
Angeot, 352 h., c. de Fontaine.
Anjoutey, 518 h., c. de Giromagny.
Argiésans, 160 h. c. de Belfort
Auxelles-Bas, 720 h., c. de Giromagny. → Chateaut d’Auxelles, de Rosemont, de Passavant.
Auxelles-Haut, 928 h., c. de Giromagny.
Banvillars, 186 h., c. de Belfort.
Bavilliers, 1,174 h., c. de belfort.
Beaucourt, 4,303 h., c. de Delle.
Belfort, 15,173 h. (un tiers est composé d’Alaciens ayant opté pour la nationalité française), ch.-l. du département, ancien ch.-l. d’arrond. du Haut-Rhin, au pied des collines de la Miotte (401 mèt.) et de Justice (462 mètres) ; place forte de première classe couvrant le passage ouvert entre les Vosges et le Jura, passage désigné stratégiquement sous le nom de Trouée de Belfort → On entre à Belfort par deux portes : la porte de France et la porte de Brisach, construites par Vauban à la fin du XVIIe s. Elles doivent être démolies, et la première enceinte de la ville sera reculée jusqu’au circuit des faubourgs. La ville se divise en trois parties ; la ville proprement dite ; le château ou citadelle (à l’E.) nommé la Roche de Belfort ; les faubourgs de France, aboutissant, à l’O., à la gare (ce faubourg a pris un grand développement depuis 1871), de Montbéliard au S. et de Brisach au N.-E. — Église (1729-1750), en grès rouge ; elle a beaucoup souffert du bombardement de 1871, mais elle a été réparée complètement à l’intérieur et en partie à l’extérieur. À l’intérieur : frise de la nef ornée de têtes d’anges en bas-relief ; orgues effondrées par les bombes allemandes et réparées depuis. — Hôtel de ville, renfermant le tribunal civil, le tribunal de commerce,