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à charlet.

Voilà ce que j’avais à te dire, Charlet. Prends pitié de tes enfants ; et puis bénis-moi quelque peu, mon grand artiste. Envoie-moi un morceau de ta vieille chemise ; laisse-moi fumer dans ta pipe la plus noire, Charlet, mon héros, mon grand saint, mon sublime patron, que je puisse baiser quelqu’une de tes reliques ; car je suis dévot à ton génie, car je suis le très-humble serviteur de tes soldats et l’ami le plus niais de tes petits enfants.

Bonjour, Charlet !


fin du tome quatrième.