Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
FRIMOUSQUINO.
Non pas ! mais vous !
RIPARDOS.
Je vous prête mon cheval !
GUARDONA.
Je ne sais pas monter !
FRIMOUSQUINO.
On vous met dessus…
RIPARDOS.
Vous lâchez la bride…
GUARDONA.
Et je tombe !
FRIMOUSQUINO.
Non ! le cheval est doux comme un agneau !
RIPARDOS.
Vous empoignez la crinière…
GUARDONA.
Il m’emporte !
FRIMOUSQUINO.
Jusqu’à Madrid ! vous l’arrêtez à l’entrée du faubourg, devant le couvent des Cordeliers, vous demandez un père, vous le prenez en croupe…
RIPARDOS.
Vous relâchez la bride…
GUARDONA.
Et nous tombons !
FRIMOUSQUINO.
Non ! le cheval est doux comme un agneau !
RIPARDOS.
Vous r’empoignez ta crinière…