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son du « vivo »[1] se fait entendre, accompagné de voix humaines ; d’autres musiciens exécutent des roulements sur des tambours ou sur des seaux renversés appliqués au même usage. Les danseurs se groupent autour des musiciens et se livrent aux contorsions plus ou moins disgracieuses qui constituent l’« upa-upa » nationale. Le soir, Diogène avec sa lanterne parcourrait en vain toute l’île pour y trouver un homme !




Paris. — Typographie A. HENNUYER, rue d’Arcet, 7
  1. Petite flûte des plus primitives, dans laquelle le joueur souffle avec l’une de ses narines tandis qu’il bouche l’autre avec le pouce de sa main-droite.