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L’AÉROPLANE-FANTÔME

Et soudain, avec un cri :

— Oh ! Je sais, je sais.


Elle a saisi les mains du frère et de la sœur.

Elle a saisi les mains du frère et de la sœur : Elle les réunit dans les siennes et, d’une voix grave, empruntant à la situation une ampleur tragique :

— Mon cerveau renferme un secret terrible. C’est un secret de mort. Le divulguer, c’est faire planer la mort sur mon père, sur moi. Eh bien, ce secret, je vous le livre.

— Non, inutile, protestent noblement les Anglais.