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L’AÉROPLANE-FANTÔME

Les hommes examinaient le sous-bois avec des yeux scrutateurs. Leur attitude, le mousqueton tenu en main, la crosse appuyée à la cuisse, disaient clairement que les cavaliers effectuaient une patrouille de reconnaissance. En avant du groupe chevauchaient un lieutenant et un sous-lieutenant :


Les hommes examinaient le sous-bois avec des yeux scrutateurs.

— Idiot, grommela le premier. Idiot de nous faire patrouiller à travers bois pour trouver l’aéroplane en question.

— Totalement idiot, riposta son compagnon avec une mauvaise humeur non dissimulée, mais c’est l’ordre télégraphié du poste de Grossbeeren… Il faut patrouiller sans murmurer.