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XL. — Ingres replongé dans le gouffre de Paris. — Depuis les portraits de M. Hertin et de M. Mole, tout le monde en veut. — Ingres est peintre d’histoire et non de portraits. — On pleure devant ses tableaux, et le voilà bien vengé du passé. — Éh bien ! il préfère encore Montauban ou l’Italie. — Heureusement que le duc de Luynes lui commande l’Age d’Or et l’Age de Fer pour son château de Dampierre. — Le jeune Cambon vient le voir. — Et puis, il lui reste Mozart
TROISIÈME PARTIE
Épistolaire d’Ingres. — De l’« Age d’Or » à la « Source » et au « Testament »
XLV. — Mme Ingres boit à plaisir le vin blanc de Montauban. — Le portrait de Mme d’Haussonville recommencé. — Mme de Rothschild sur chevalet. — Desgoffe fait le paysage de l’Age d’Or. — Trente mille francs à Delaroche pour la gravure de son Hémicycle. — Et à Ingres, pour celle de son Homère ? — Dîner chez Louis-Philippe et concert chez Hittorf
XLVI. — Ingres, peintre de la Cour, est-il heureux ? — Les neuf mois de galère à Paris et les trois mois d’Age d’Or à Dampierre. — Un mal d’enfant de trois mois, pour accoucher d’un sujet de peinture. — La Comédie plus difficile que la Tragédie : Molière montera au pinacle,