Page:Ingres d’après une correspondance inédite, éd. d’Agen, 1909.djvu/360

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 348 —
LXXII. — Il accepte de peindre l’Apothéose de Napoléon pour l’Hôtel-de-Ville. — Adieu au monde qui bourdonne. — Projets de mariage de Pauline. — Que la petite Madame continue à aimer les arts !
rien
LXXIII. — Tout à son travail. — Il veut faire son paquet le plus gros possible. — Une quantité de vieilles toiles à finir. — Pour lui, plus personne à Paris. — Sa femme lui remplit sa solitude.
rien
LXXIV. — Quel art divin, la musique ! — L’italienne est mauvaise. — Vive les symphonies allemandes ! — Le plaisir de les entendre à Paris vaut le voyage.
rien
LXXV. — Que devient Pauline ? — Il vit entre les tisanes et les sirops. — Toujours vigoureux, cependant. — Sa vieillesse à rebours des autres. — Haydn le plus grand musicien. — Le piano dit toute la musique. — La Sainte Germaine est terminée. — La Source a eu un grand succès.
rien
LXXVI. — Reprise de l’Homère. — Il amplifie ce sujet pour la gravure. — L’Homère déifié doit être l’œuvre de sa vie. — Il en perd le sommeil. — Plus il vieillit, plus il travaille. — Les invitations de la Cour.
rien
LXXVII. — Cambon est-il à Paris ? — Recherches d’un Apothéose d’Hercule sur un vase grec. — Demande d’un calque à lui adresser à Meung.
rien
LXXVIII. — Les lettres de Pauline sur la musique. — Haydn est le maître des maîtres. — Gluck est le Dieu de la musique de théâtre. — Mme Ingres les « dit » à merveille. — À la campagne, il ne regrette pas Paris.
rien
LXXIX. — Envoi de caisses à Cambon pour l’Exposition de Montauban. — Merci à Mme Montet (Pauline Gilibert) pour le portrait de son père. — Cambon n’oubliera pas d’exposer le sien aussi. — Flandrin et Desgoffes y participeront-ils ?
rien
LXXX. — Il répond à vue à Pauline. — Il a la fièvre, mais remercie Dieu d’une si longue vie accordée. — Montauban fête les arts avec son Exposition. — Le portrait de Gilibert y sera le meilleur tableau. Ne pas y exposer certaine Chapelle Sixtine qui n’est pas toute d’Ingres. — Envoi de ses ingristes regrets.
rien
LXXXI. — Remerciements à Cambon. — Envoi de son portrait et de celui de son père. — Il n’ira pas à Montauban. — Sa sœur désole sa vie.
rien
LXXXII. — Ingres, sénateur de l’Empire. — L’Empereur lui-même a proclamé son nom. — Voilà ce que vaut le courage de la vie. — Le succès de l’Exposition de Montauban fait son bonheur.
rien
LXXXIII. — Cambon est trop modeste. — Ingres est franc comme l’or. — Regrets d’avoir manqué la visite du Maire de Montauban.
rien
LXXXIV. — Ingres acquitte à Cambon une dette. — Encore retenu au rivage des honneurs par plus de 50 lettres à répondre
rien
LXXXV. — Réponse à Prosper Debia. — Quelles tristes raisons l’empêchent de retourner à Montauban. — À Paris, il reste toujours sur la brèche. — Il est bien vieux ; mais les Grecs et Raphaël, voilà ce qui fait vivre ! — Il faut en finir avec les gribouillages de lettres.
rien