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en janvier 1871, dans une brochure éditée chez Wittersheim, sous le titre de Rimes républicaines, et aujourd’hui épuisée.

Page 124. — La Pointe à Guérin. Pièce de terre située dans la plaine Saint-Denis ; le nom en a été appliqué par les Parisiens au cimetière dans lequel elle est englobée. Le nom de Cayenne a prévalu.

Page 151. — Jésus. Chanson imprimée pour la première fois en 1864, dans la Tribune lyrique, publiée à Mâcon par mon ami Demoule.

Page 153. — Monsieur Satisfait. On a dû retrancher par prudence quelques couplets dans lesquels certains personnages n’auraient pas été flattés de voir leurs noms écrits en toutes lettres. Quant à remplacer ces noms par des points, allez donc dissimuler un nom qui termine un vers et sert de rime à déchu !

Page 185. — Mon Volume. La Lice et le Caveau, cités au deuxième couplet, sont deux sociétés lyriques qui comptent parmi leurs membres quelques-uns des meilleurs chansonniers parisiens.

Page 189. — Lamennais. Pour comprendre les deux derniers couplets, il faut se rappeler que le corps de Lamennais a été déposé dans la fosse commune pendant les jours gras, et qu’un amiral fut inhumé en même temps avec une grande pompe : quinze voitures de deuil et une douzaine de bataillons suivaient le char funèbre et deux régiments formaient la haie.