Essaie donc ! Oh ! oh ! Peer Gynt, je ne suis pas facile à battre ! Je reviendrai ici tous les jours. Je serai devant ta porte à vous épier l’un et l’autre. Quand vous serez assis sur le banc, côte à côte, quand tu te feras tendre et voudras caresser ta belle, — je me mettrai entre vous deux et demanderai ma part du festin. Elle et moi, nous nous passerons notre chéri. Il faudra que tu te partages entre nous. Adieu, mon amour, tu peux te marier demain si tu veux.
Ah ! goule d’enfer !
Tiens, mais j’oubliais ! Il faut que tu nourrisses ton fils, ton gracieux gamin. Eh ! diablotin, va donc chez papa !
Fi le vilain ! Où est ma hache, que je te cogne ! attends, attends !
Mauvaise petite tête ! tu deviendras le vrai portrait de ton père quand tu seras grand !
Je voudrais vous voir…