frère, bien que j’eusse mieux aimé faire de la lumière.
RUMMEL. — Vous en ferez plus tard ; quand le jardin sera plein de monde, on les ouvrira afin que l’on puisse voir la joyeuse surprise de cette heureuse famille. Une maison bourgeoise doit être comme une maison de verre.
(Bernick paraît vouloir dire quelque chose, puis rentre brusquement dans sa chambre.)
Scène VI
RUMMEL. — Tenons maintenant le dernier conseil. Venez avec nous, monsieur Krapp. Il faut que vous nous aidiez.
(Ils entrent tous dans la chambre du consul. Lona a fini de fermer les rideaux et va fermer la portière devant la porte vitrée, quand Olaf se précipite sur le perron. Il a un plaid sur les épaules et un paquet à la main.)
Scène VII
LONA. — Ah ! mon Dieu, excuse-toi, mon petit. Tu m’as surprise !
OLAF (il cache le paquet). — Chut, tante !
LONA. — Tu as sauté par la fenêtre ? Où vas-tu ?
OLAF. — Chut ! Ne dis rien. Je vais voir l’oncle