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306 i?-Leith-lbn-?d rapports sun* l’autoril? ds plus d’un in* dividu, qu’Abd-Allah-lbn*SAd nyant fait une exp4klition on lfrikYa et tu? Djoredjlr, chaclue cavalier rebut trois mills dinsrs et ehaquo fantassin mille. Un autre cheikh ?,yptien ajout? que chacun do ces dinars valait un dinar etun cluart. Othmau.-lbn- $aleh et d’autres diseat que l’arm? d’Abd-Allah-lbn..?d forte de vin{gt mille heroines. La fillo de Djorecljtr ?hut en partage hun heroine d’entre

!es Ansars lie peuple de M& !ine]. 11 la pla? surun chaineau et 

s’en retourna avec erie, en improvisant !es vets suivants : Fills de Dj’oredjlr, tu iras & l?ied Os ton tour. Dans le Hidjaz ta maltresse i’dtrend. Tu porteras [de l’eau dans] une outre En entendant ces paroles, elle demanda ce clue ee chien you- lair dire, st, en ayant appris !e seas, ells se jeta du chameau qui la portait et se cassa le cou. Selon Ibn-Lahia, ce fut Abd-Allah-lbn-Sâd qui envahit l’Ifrîkïa, mais d’autres disent qu’il ne fit que l’entamer. Voyant les pièces monnayées qu’on avait mises en tas devant lui, il demanda aux africains (Afarica) d’où cet argent leur était venu ; et l’un d’entre eux se mit à aller de côté? et d’autre, comme s’il cherchait quelque chose, et ayant trouvé une olive, il l’apporta à Abd- Allah et lui dit " C’est avec ceci que nous nous procurons de l’argent. - Comment cela ? dit Abd-Allah. --- Les Grecs, répondit cet homme, n’ont pas d’olives chez eux, et ils viennent chez nous acheter de l’huile avec ces pièces de monnaie." Les Afarlea recureat c? nora pares qu’ils $taient earants de Fares, ills de Biser. Farea s’appropria ie pays situ? eutr? liarca et l’lfrlkYa, et e’est d’apr?s les Afarie clue l’lfrtkYa (Afriq?) fur ainsi nomm?. Abd-Allah-lbn-S?d envoya Abd-A !!ah-lbn--ez-Zobeir annou?r aurait dou?/?t? de quatr? ?uts millions do fraac?, plus c? qui fai? eu tout cinq cents millions. La fausset/? de ces renseigtm-- meats saute aux eux. ? Coba ?s? le nora d’un village h deux milles de M?ditm. jourd’hui, Coba fourni? de I’eau ? o?tg? ville.