Page:Huzar - La fin du monde par la science, 1855.djvu/66

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

manité dans l’avenir : calculez maintenant, si vous le pouvez, la force d’un pareil levier, qui aurait toutes les acquisitions de la science pour bras, l’intelligence humaine pour puissance, et voyez s’il est un jour une seule résistance qui puisse lui faire équilibre ; je le répète donc, le jour où cette terrible machine sera mise en mouvement, le monde en sera ébranlé, et l’humanité disparaîtra sous ses ruines.

Les derniers temps seront venus.

XXXIX.

Il nous restera à chercher, ou plutôt à dégager dans le livre suivant, le grand inconnu dont tous les philosophes et les théologiens se sont occupés jusqu’à nous, sans solution ; je veux dire, le péché originel et la chute de l’homme, et quand nous l’aurons trouvé, vous concevrez que le titre de ce livre est la déduction fatale