Page:Huzar - La fin du monde par la science, 1855.djvu/65

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

toute ruine en ce monde, la fatalité, ni la base sur laquelle l’édifice repose.

Comment pourrions-nous calculer à quelle hauteur nous pouvons élever le monument de la civilisation, ni quels matériaux nous pouvons encore lui faire supporter !

XXXVII.

Quand on ne connaît ni l’élasticité du gaz ni la force de la chaudière, peut-on, sans imprudence, chauffer indéfiniment, et ne peut-on pas prédire, sans être prophète, que la machine doit fatalement éclater dans un temps donné.

XXXVIII.

Le tiers de notre tâche est achevé ; nous croyons avoir démontré d’une manière évidente le progrès indéfini de l’hu-