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tion du péché originel et de la chute de l’homme ait eu lieu, soit par une révélation humaine, soit par la seule force de l’intuition, au seul spectacle d’une nature bouleversée ou à l’aspect des ruines gigantesques de Karnak ou de tout autre cité, peu nous importe.

Nous ne nous sommes attachés dans ce livre qu’à une seule chose, à interpréter, expliquer, formuler le grand fait du péché originel, le mythe de l’arbre de la science et du fruit défendu.

Rien de plus, rien de moins.

Qu’on cherche à expliquer autrement que nous le faisons nous-mêmes, le mythe de l’arbre de la