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UN DERNIER MOT.

Vous avez fermé ce livre sans le comprendre. Ne vous l’avais-je pas dit en commençant ? Donc, ma formule ne peut être votre formule. La civilisation n’est point encore assez avancée, nous ne sommes encore qu’à l’aurore des choses, je vous le dis encore, ce livre n’est pas écrit pour ce siècle, pour vous. D’autres temps viendront où l’homme pénétré de terreur à la vue des prodiges qui se passeront sous ses yeux, le comprendra et sera effrayé.

Mais le jour où il interprétera comme nous, le mythe du péché originel, de l’arbre de science, du fruit défendu, de la chute de l’homme :

Les derniers temps seront venus.

Le fruit de l’arbre de la science aura été cueilli,