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l’orgueil, et en ajoutant que c’était le seul crime qu’il ne pardonnait pas. N’est-ce pas là cette punition du péché d’orgueil que nous retrouvons dans toutes les religions et surtout dans la Genèse ? N’est-ce pas, en un mot, le péché originel et la chute de l’homme racontés par les Wédas comme il l’est par la Genèse elle-même ? N’est-ce pas là encore l’histoire de Prométhée précipité dans l’abîme pour avoir ravi orgueilleusement le feu du ciel.

Nous retrouvons donc là, comme nous l’avons trouvé lors de la chute des anges, l’orgueil de la puissance, être la cause de la révolte et de la chute de l’homme.

C’est là tout le sens.

LXXVIII.

Dans la religion persane, nous retrouverons aussi le mythe de la chute de l’homme raconté de la même manière.