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indéfinis, amenant une catastrophe certaine.

Dans le livre deuxième, le Passé, nous avons établi, en nous appuyant sur toute l’antiquité religieuse, que le péché originel n’a d’autre sens que l’exagération de la science et de la force, amenant fatalement la chute de l’homme, c’est-à-dire une catastrophe universelle ; aussi, combattons-nous dans ce livre toutes les autres théories émises jusqu’à nous sur le péché originel, et surtout celles de Jean Reynaud et Creuzer. Nous prouvons le peu de valeur de leurs théories si impuissantes, selon nous, pour expliquer le grand drame humain, et, d’ailleurs, complètement en contradiction avec les religions de l’antiquité.

Dans le livre troisième, l’Avenir, la fin du monde, nous avons examiné toutes les théories de l’antiquité sur un si grave sujet, et nous avons cherché à montrer que