Le dernier calembour de Louis XVIII — Dangers qu’on peut courir
dans un tire-bottes. — La plaine de Soissons vue le soir. — Le
voyageur regarde les étoiles. — Celui qui passe contemple ce qui
demeure. — I. C. — Soissons. — Phrase de César. — Mot de
Napoléon. — Silhouette de Saint-Jean-des-Vignes. — Le voyageur
voit une voyageuse. — Sombre rencontre. — Vénus. — Paysage
crépusculaire. — Ce qu’on voit de Reims en malle-poste. — La
Champagne parfaitement pouilleuse. — Rethel. — Où donc est
la forêt des Ardennes ? — De qui le déboisement est fils. —
Mézières. — Ce qu’on y cherche. — Ce qu’on y trouve. — Le
miracle de la bombe. — Comment un dieu devient un saint. —
Sedan. — Le voyageur se recueille et cherche des choses dans
son esprit. — Une médiocre statue au lieu d’un beau château. —
Sedan y perd. — Turenne n’y gagne pas. — Aucune trace de sanglier des Ardennes. — Cinq lieues à pied. — Un peu de Meuse.
— On court après un verre d’eau, on tombe sur un saucisson.
— Un goîtreux. — Charleville. — La place ducale et la place
royale. — Rocroy. — Les dialogues nocturnes qu’on entend en
diligence. — Un carillon se mêle à la conversation, dans la
bonne et évidente intention de désennuyer le voyageur. — Entrée
à Givet.
Cette fois j’ai fait du chemin. Cher ami, je vous écris aujourd’hui de Givet, vieille petite ville qui a eu l’honneur