Page:Hugo - La pitié suprême, 1879.djvu/123

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


XIV

 
Et vous ne voulez pas que nous disions : assez !
Que nous tendions les mains pour tous ces insensés,
Que nous ayions pitié de ces impitoyables !
Que nous demandions grâce aux destins immuables,
À Dieu, pour ceux qui n’ont point fait grâce, et qui sont
Tombés faibles et nus dans le pouvoir sans fond !