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VIII. MARIÉE ET MÈRE

 
Voir la Jeanne de Jeanne ! oh ! ce serait mon rêve !
Il est dans l’ombre sainte un ciel vierge où se lève
Pour on ne sait quels yeux on ne sait quel soleil ;
Les âmes à venir sont là ; l’azur vermeil
Les berce, et Dieu les garde, en attendant la vie ;