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Dans les bras de la paix sacrée, et dans l’hymen
De la clarté divine avec l’esprit humain.
Ils condamnent le frère à dévorer le frère,
Le peuple à massacrer le peuple, et leur misère
C’est d’être tout-puissants et que tous leurs instincts
Allumés pour l’enfer, soient pour le ciel éteints.
Rois hideux ! On verra, certe, avant que leur âme
Renonce à la tuerie, au glaive, au meurtre infâme,
Aux clairons, au cheval de guerre qui hennit,
L’oiseau ne plus savoir le chemin de son nid,
Le tigre épris du cygne, et l’abeille oublieuse
De sa ruche sauvage au creux noir de l’yeuse.