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f ACTE III, SCÈNE III. 32J EDGAR MARC. Monsieur. , . LE BARON DE PUENCARRAL. Je me suis trompé. Vous m’aviez dit la vérité. Je vous prie de me pardonner. Silence d’Edgar Marc. Donnez-moi la main. EDGAR MARC. Monsieur. . . LE BARON DE PUENCARRAL. Je VOUS ai offensé. J’en ai regret. Je comprends à présent votre aventure d’hier soir et votre désespoir. Vous vouliez regagner cet argent. Recevez mes excuses. Faites-moi l’honneur de rester dans ma maison. EDGAR MARC. J’en dois sortir, monsieur, et j’en sors. U se dirige vers la porte. LE BARON DE PUENCARRAL. Vous me tenez rigueur. C’est vous à présent qui avez tort. Je vous disais tout à l’heure : regardez mes cheveux gris pour respecter. Je vous dis maintenant : regardez-les pour pardonner. Restez, vous dis-je. EDGAR MARC. Mon devoir est de quitter votre maison. Adieu, monsieur. LE BARON DE PUENCARRAL. Vous ne me rendez pas justice. EDGAR MARC. Je me la fais. A part, en regardant Glapieu. Je ne puis parler, mais je puis veiller. J’aurai l’œil sur cet homme. Il sort.