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THÉÂTRE EN LIBERTÉ.


III

GABOARDO, se louant lui-même
devant des êtres qui ne connaissent que son nom.

Ayant énormément d’aventures galantes,
Il est forcé d’avoir un cœur en caoutchouc.
Il est charmant. Il porte une barbe de bouc,
Et son œil rond, qui semble admirer le beau sexe,
Crie : ô ! sous l’angle aigu d’un sourcil circonflexe.