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MÈRE INNOCENTE…

— J’en fais mon affaire.

Le visage de la prieure, jusqu’alors trouble et obscur, se rasséréna. Elle lui fit le signe du supérieur congédiant l’inférieur. Fauchelevent se dirigea vers la porte. Comme il allait sortir, la prieure éleva doucement la voix :

— Père Fauvent, je suis contente de vous ; demain, après l’enterrement, amenez-moi votre frère, et dites-lui qu’il m’amène sa fille.