Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Roman, tome III.djvu/94

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
78
LES MISÉRABLES. — FANTINE.

par le premier passant venu, rien n’est plus terrible ; avec cela que monseigneur a l’habitude de toujours dire d’entrer, et que d’ailleurs, même au milieu de la nuit, ô mon Dieu ! on n’a pas besoin d’en demander la permission…

En ce moment, on frappa à la porte un coup assez violent.

— Entrez, dit l’évêque.