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LXXII.

Les prêtres ont levé les mains vers les étoiles

LXXIII.

Lueur du soupirail

LXXIV.

Nous nous envolerons vers les cieux inconnus

LXXV.

Sur votre horizon triste où les spectres se dressent

LXXVI.

LXXVII.

…Dans les pages

LXXVIII.

Nuit. Dans un cimetière

LXXIX.

Tantôt couvert de nuit, tantôt noyé d’aurore

LXXX.

Est-ce Dieu qu’on entend parler quand le destin

LXXXI.

…Les yeux levés là-haut

LXXXII.

Hélas ! comme un panier où jamais l’eau ne reste

LXXXIII.

…Le ventre a sa religion

LXXXIV.

Les hommes passeront, la poussière éperdue

LXXXV.

Dans un cimetière

LXXXVI.

Rien n’est plus effrayant que cet exil de l’âme

LXXXVII.

Dans la création visible, obscur milieu

LXXXVIII.

Cherche d’où cela sort, cherche où cela s’arrête

LXXXIX.

Un lent travail humain sans cesse ronge et mine

XC.

Crois à ta conscience avant de croire aux codes

XCI.

À quoi bon ? à quoi bon ? et je penche la tête

XCII.

Toi qui, seule toujours, planes au fond du ciel

XCIII.

Si tu te laissais trop aller aux rêveries

XCIV.

Pourquoi veux-tu passer près de la maison sombre

XCV.

La pluie à flots pressés bat la vitre du bouge

XCVI.

Tout marche ; c’est la loi de l’homme

XCVII.

Partout l’ombre, partout le désert froid et mort

XCVIII.

…Mais j’entends le savant s’écrier

XCIX.

C.

Moins sonore, moins pur, moins radieux ; en somme

CI.

Que les esprits soient grands ! que les regards soient purs !

CII.

J’ai lu Dante

CIII.

Hélas ! après avoir dans toutes les douleurs

CIV.

Le poëte abolit la guerre et l’homicide

CV.

Oh ! je compte sur l’ouverture

CVI.

CVII.

Le flot heurte la plage et le vent heurte l’onde

CVIII.

Après tant de choses passées

CIX.

CX.

Pendant que j’écrivais ces vers sur toi, Sion

CXI.

Enfant, prends en pitié dans le fond de ton cœur

CXII.

Loin des rayonnements, des triomphes, des fêtes

CXIII.

Oui, tu veux saisir Dieu, le tenir et n’y croire

CXIV.

D’autres disent — c’est là leur sagesse — : que sert

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