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Le sage cependant, qui songe à leur destin,
Ramasse tristement les miettes du festin,
Tandis que l’un l’autre ils s’enchantent ;
Puis il donne ce pain aux pauvres oubliés,
Aux mendiants rêveurs, en leur disant : ─ Priez,
Priez pour ces hommes qui chantent !

4 mars 1837