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Au manuscrit de cette poésie nous joignons deux feuillets contenant des strophes inédites qu’on lira aux Variantes.

VIII. à david, statuaire.

En marge du deuxième feuillet de cette copie, deux notes de la main de Victor Hugo :

Les pans de l’histoire.


Leurs statues
éternelles
Rendaient les villes solennelles !


IX. à m. de Lamartine.

Nous avons fait relier après la copie un brouillon contenant les vers jalons d’après lesquels cette poésie a été écrite.

XV. Laissez : tous ces enfants sont bien là...

Au verso du deuxième feuillet [64], quatre vers jetés en marge :

Je ne veux plus cueillir la poésie en fleurs.



Et mes alexandrins l’un sur l’autre enjambant
Comme des écoliers qui sortent de leur banc.



Chacun enfle sa bulle où se reflète un monde.



Les deuxième et troisième vers ont été publiés dans les Voix intérieures (A des oiseaux envolés) ; le quatrième vers se lit dans A mes amis L. B. et S.-B.

XXII. à une femme.

Ces vers sont écrits au dos d’une lettre timbrée par la poste 8 mai et adressée par Antoni Deschamps à Victor Hugo pour l’inviter à passer la soirée chez lui le 13 mai.

XXIII. Oh ! Qui que vous soyez, jeune ou vieux, riche ou sage...

Les cinq dernières strophes seulement sont de la main de Victor Hugo.

XXVII. à mes amis L. B. ET S.-B.

Cette pièce, qui comporte cinq feuillets, est écrite sur les pages restées libres de trois lettres ; le premier feuillet [92] n’est autre que le verso d’une lettre signée