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tionnés que les autres ? Sont-ils plus solides, moins mêlés d’étoupe et de coton, meilleur teint ? Y a-t-il les serments tout neufs et qui n’ont pas servi, les serments usés aux genoux, les serments rapiécés, les serments éculés ? Y a-t-il du choix enfin ? qu’on nous le dise. La chose en vaut la peine. C’est nous qui payons. Cette observation faite dans l’intérêt des contribuables, je demande pardon à M. Vidocq de m’être servi de son nom. Je reconnais que je n’en avais pas le droit. Au fait, M. Vidocq eût peut-être refusé le serment.