Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., En voyage, tome II.djvu/78

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

À bientôt, ma pauvre amie. Me voici en route pour revenir. Je compte sur une bonne lettre de toi à Caen. Et puis je t’embrasse sur tes deux joues si fraîches et si douces, et puis je t’aime bien.

V.

Nanteuil me charge de te présenter ses respects les plus affectueux.