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qu’elle porte déjà à moitié rempli, puis il vient près de moi. La femme chemine devant. Auster, les mains derrière le dos, marche à mon côté et me fait la conversation. Il a un cheval ; il me l’offre pour une excursion à Renteria et à Fontarabie ; un jour, huit piécettes. Nous arrivons. La vieille femme pose le paquet aux pieds d’Oyarbide et lui fait la révérence. Je donne à Oyarbide sa peseta. — Est-ce que vous ne donnerez rien à cette pauvre femme ? me dit-il.