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DE LORCH À BINGEN.



LETTRE XX.
De Lorch à Bingen.


La langue légale et la langue française. — Loi : Article unique : Qui parlera français paiera l’amende. — Théorie du voyage à pied. — Souvenirs. — Première aventure. — Note sur Claye. — Ce qui apparaît à l’auteur entre la quatrième et la cinquième ligne. — L’auteur voit des ours en plein midi. — Peinture gracieuse d’après nature. — L’auteur laisse entrevoir l’inexprimable plaisir que lui font les tragédies classiques. — Intéressant épisode de la mouche. — Incident. — Ce que signifie l’intervalle qui sépare les mots entendre passer des mots les sérénades. — Incident. — Incident. — Incident. — Incident. — Explication. — Cela n’empêche pas que l’auteur eût fort bien pu être accepté par ces saltimbanques à quatre pattes comme le dessert de leur déjeuner. — Deuxième aventure. — G. — Histoire naturelle chimérique d’Aristote et de Pline. — En quels lieux les hommes font volontiers leurs plus monstrueuses inepties. — Incident. — Un rébus d’Horace. — D’où venait le vacarme. — Portrait de deux hommes admirés. — Tableau de beaucoup d’hommes qui admirent. — L’homme chevelu parle. G. tressaille. — L’auteur écrit ce que dit le charlatan. — Dialogue de celui qui est en haut avec celui qui est en bas. — L’auteur éclate de rire et indigne tous ceux qui l’entourent. — Puissance de ce qui est inintelligible sur ce qui est inintelligent. — Mot amer de G. sur la troisième classe de l’Institut. — Dans quelles circonstances l’auteur voyage à pied. — Furstemberg. — L’auteur grimpe assez haut pour constater une erreur des antiquaires. — Cadenet, Luynes, Brandes. — L’auteur subit sur la grande route son examen de bachelier. — Heimberg. — Sonneck. — Falkenburg. — L’auteur va devant lui. — Noms et fantômes évoqués. — Contemplation. — Un château en ruine. — L’auteur y entre. — Ce qu’il y trouve. — Tombeau mystérieux. — Apparition gracieuse. — L’auteur se met à parler anglais de la façon la plus grotesque. — Esquisse d’une théorie des femmes, des filles et des enfants. — Stella. — L’auteur, quoique découragé et humilié, s’aventure à faire quatre vers français. — Conjectures sur l’homme sans tête. — L’auteur cherche dans le Falkenburg les traces de Guntram et de Liba. — La langue de l’homme a de si singuliers caprices, que Trajani Castrum devient Trecktlingshausen. — L’auteur déjeune d’un gigot horriblement dur. — Sa grandeur d’âme à cette occasion. — Paysage. — Saint-Clément. — Le Reichenstein. — Le Rheinstein. — Le Vaugtsberg. — L’auteur raconte des choses de son enfance. — Légende du mauvais archevêque. — Au neuvième siècle on était mangé par les rats sur le Rhin comme on l’est aujourd’hui à l’Opéra. — Moralité des contes différente de la moralité de l’histoire. — Mauth et Maüse. — Comment une petite estampe encadrée de noir, accrochée au-dessus du lit d’un enfant, devient pour lui, quand il est homme, une grande et formidable vision. — Crépuscule. — L’auteur se risque encore à faire des vers français. — Effrayante apparition entre deux montagnes de l’estampe encadrée de noir. — La Maüsethurm. — Vertige. — L’auteur réveille un batelier qui se trouve là. — À quel