observation est l’évidence même. Ceci pourtant serait peut-être faisable. — Au même journal (démocrate) Cravate et le Conventionnel ; les deux citations s’entr’aidant. À un autre : philosophie après boire, à un autre : les portraits des quatre jeunes gens et des quatre jeunes filles. À un autre : le dedans du désespoir (toute l’histoire préalable de Jean Valjean). À un autre : le soir d’un jour de marche. En disant dans l’en-tête : ceci engage l’action, etc.
En somme, je vous soumets tout cela, car vous savez mieux que moi ce qui convient à moi-même. Merci pour le mot instant. Merci pour tout. Tout ce que vous faites, ne fût-ce qu’une correction d’épreuves, est chef-d’œuvre.
La publication est remise au 4 avril, époque indiquée par Meurice.
Je n’ai que le temps de fermer ce griffonnage.
Je serre vos deux mains.
Un mot au galop.
Voici la liste dictée par Victor à Julie. Elle me paraît bien. Cher ami, j’en envoie ci-joint un double à Meurice, examinez et voyez si j’ai fait des oublis.
Vous avez bien fait de laisser Buona-Parte. C’est ainsi que le nom apparaît pour la première fois dans le Moniteur. Ruette et ruelle sont bons. Ruelle est plus spécial aux villes, ruette aux champs.
Bal-Sauvage était le nom du boui-boui hanté par Bonaparte et Talma.
Vous savez que je renonce absolument à vous remercier. Je vous envoie tout le meilleur de moi.
Votre sentiment fait loi. C’est en lisant dans les Débats et la Presse cette annonce du libraire Didier :
que l’idée était venue. François avait dit : pourquoi, puisqu’on dit Shakspeare-Guizot, ne dirait-on pas Shakseare-Hugo ? Et je n’y avais pas vu d’inconvénient. Mais du moment où vous êtes d’avis, ainsi qu’Auguste, de s’abstenir
de cette imitation de Didier libraire, je passe de votre bord, et je vous dis
comme toujours : faites pour le mieux.