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Madame la Vtesse de Victor Hugo[1].
Mercredi 2 h. [1840].

Voici, chère amie, le reçu Lamouroux, plus les notes Jauffret. Fais attention à l’article 1re communion, 32 francs. Examine du reste le tout avec attention et rapporte-moi les notes dimanche pour que je paie. J’ai vu tout à l’heure nos deux bons petits écoliers qui sortaient de leur dernière composition et avaient des visages de bon augure. Toto pourtant n’a que le second prix d’orthographe. J’espère qu’il se sera vengé sur le thème. À dimanche. Je vous embrasse tous et toutes tendrement.

Victor.

J’ai retenu et payé six places (en recommandant qu’on les mît ensemble) à la voiture de dimanche 5 h. Je compte toujours aller vous attendre au débarquement[2].


1841


À Mademoiselle Lemercier[3].


28 avril.

La séance, Mademoiselle, n’aura lieu qu’à la fin de mai. D’ici là je me mettrai à votre disposition et à celle de madame votre mère pour vous lire ce discours puisque vous désirez l’entendre.

Croyez, ainsi que madame votre mère, à ma profonde et respectueuse sympathie.

Victor Hugo.

Ma femme et ma fille sont bien heureuses de vos amicales et gracieuses paroles[4].


À Monsieur Rampin, banquier[5].


Ce mercredi 28 juillet 1841.

Samedi, Monsieur, je me présenterai entre trois et quatre heures à votre caisse pour toucher les trois mille francs du semestre d’intérêts échu le

  1. Inédite.
  2. Bibliothèque Nationale.
  3. Inédite. Adressée à la fille de Népomucène Lemercier.
  4. Communiquée par la librairie Cornuau.
  5. Inédite. — Rampin était associé de l’éditeur Duriez.