Nous retrouvons en marge du feuillet suivant (K, suite de la cinquième division) une grande partie, biffée, de la troisième division ; les surcharges de ce feuillet sont particulièrement embrouillées. Ainsi, Victor Hugo, en revisant, avait écrit à l’encre rouge et en haut du feuillet une partie du texte sur les faux monnayeurs, mais pour utiliser la place restée libre il avait pris la page dans ce sens :
Les mots manquants, impossibles à déchiffrer, sont surchargés par le texte définitif écrit dans le sens courant, de gauche à droite dans la largeur de la page. Ceci vient à l’appui de la remarque que nous avions faite plus haut.
III. Suprématie de Paris. — Les quatre premiers alinéas de cette partie sont écrits à l’encre rouge ; on les retrouve, biffés, quatre feuillets plus loin.
La deuxième division qui, à l’origine, était la première, portait en tête le titre de la troisième partie : Suprématie de Paris ; puis, au crayon, deux variantes indéchiffrables.
Deux feuillets ne portant aucune pagination semblent intercalés, ils contiennent toute la troisième division. Plusieurs ajoutés dans les trois dernières.
IV. Fonction de Paris. — Le deuxième feuillet de ce chapitre a été mis au net et recopié sur un ajouté marginal du feuillet suivant. Les troisième, quatrième et cinquième divisions, à part une page ajoutée sur « le défunt procureur-général » sont couvertes d’ajoutés en tous sens.
V. Déclaration de paix. — Nous lisons au feuillet commençant la deuxième division de ce chapitre, en regard du chiffre II, un titre barré, suivi de quelques lignes biffées aussi, et qui semble indiquer que Victor Hugo avait eu un moment l’idée de faire un sixième chapitre :
Résumons et terminons.
Car nous ne sommes que le portier de ce livre et il nous tarde de laisser la parole à l’éblouissante élite d’écrivains qui a bâti l’édifice.
Une indication en marge de la troisième division renvoie tout un ajouté encerclé à l’encre rouge au feuillet suivant.
Contre son habitude, la dernière page est signée V. H.
