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Gubetta.
Vous êtes un absurde belître ! Fi ! A-t-on jamais vu lourdaud pareil ? S’enivrer de vin de Syracuse, et avoir l’air de s’être soûlé avec de la bière !
Oloferno.
Savez-vous bien que je vous couperai en quatre, par la mort-dieu !
Gubetta, tout en découpant un faisan.
Je ne vous en dirai pas autant. Je ne découpe pas d’aussi grosses volailles que vous. — Mesdames, vous offrirai-je de ce faisan ?
Oloferno, se jetant sur un couteau.
Pardieu ! J’éventrerai ce faquin, fût-il plus gentilhomme que l’empereur !
Les femmes, se levant de table.
Ciel ! Ils vont se battre !
Les hommes.
Tout beau, Oloferno !
Ils désarment Oloferno qui veut se jeter sur Gubetta. Pendant ce temps-là, les femmes disparaissent par la porte latérale.