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Gennaro.

Par serment.

Don Alphonse, bas à dona Lucrezia.

Il paraît que ces gens-là tiennent les leurs, madame.

Haut.


— N’en parlons plus, seigneur Gennaro.

Gennaro.

Je n’ai fait aucune lâcheté pour obtenir la vie sauve ; mais, puisque votre altesse me la laisse, voici ce que je puis lui dire maintenant. Votre altesse se souvient de l’assaut de Faenza, il y a deux ans. Monseigneur le duc Hercule d’Este, votre père, y courut grand péril de la part de deux cranequiniers du Valentinois qui l’allaient tuer. Un soldat aventurier lui sauva la vie.

Don Alphonse.

Oui, et l’on n’a jamais pu retrouver ce soldat.

Gennaro.

C’était moi.