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Scène III.


MAROT, puis LES GENTILSHOMMES, ensuite TRIBOULET.
M. de Gordes, à Marot.

Ô la pauvre petite ! Hé ! comte.Est-ce qu’on rentre ?

Marot.

Le lion a traîné la brebis dans son antre.

M. de Pardaillan, sautant de joie.

Oh ! pauvre Triboulet !

M. de Pienne, qui est resté à la porte, et qui a les yeux fixés vers le dehors.

Oh ! pauvre Triboulet ! Chut ! le voici !

M. de Gordes, bas aux seigneurs.

Oh ! pauvre Triboulet ! Chut ! le voici ! Tout doux !
Çà, n’ayons l’air de rien et tenons-nous bien tous.

Marot.

Messieurs, je suis le seul qu’il puisse reconnaître.
Il n’a parlé qu’à moi.