Page:Hoefer - Biographie, Tome 17.djvu/142

Cette page n’a pas encore été corrigée

259 FEE -

inoirè snf la SeHsitim (Mimosa pudica, L.)’^ les plantes dj^es sommeillantes ; Strasbourg, 1846 ;

— Voceri, chants populaires de la Corse, précédés d’une excursion dans cette île ; Strasbourg, 1850, îti-8° ; — Gênera Filicum : Polypodiacéés ; Strasbourg, 1850-1852, in-4o ; — Histoiredes Vittariées ; SirSi^bom’g, 1851-1852, in-fol., planches-, — Histoire des Anthophijées ; Strasbourg, in-fol. avec pi., I851-l852 ;"-£’ ?î<(/es ^philosophiques sur V Instinct et V Intelligence des 4«m !m<.ï ; Strasbourg, 1853, in-l2 ; —Iconographie des espèces nouvelles décrites dans le Gênera ; Strasbourg, 1853 , 8 planches in-4o ;

— Il ne faut pas maltraiter les animaux ; dans le Bulletin de la Société protectrice des animaux, janvier 1855. Datts sa jeunesBe, M. Fée a publié quelques poésies, entre autres uneti-agédie en cinq actes, Pelage, Paris 1818, In-H". Enfin, il a donné des articles de matière inéilicaie au grand Dictionnaire des Sciences médicales de Panclioucke ; de bibliographie au BnUetin de Férussac ; de médecine, de botanique , d’histoire naturelle, médicale et de biographie dans le Journal de Chimie médicale ; de botanique des anciens dans le Journal de Pharmacie ; de cryptogamie dans le Dictionnaire classique d’Histoire naturelle ; plusieurs notices dans divers recueils et encyclopédies ainsi que dans la présente Biographie générale.

Mme Cécile Fée, son épouse, née à Orléans, le 22 janvier 1799, morte à Strasbourg, le 5 janvier 1840, femme aussi distinguée par les qualités du cœur que par celles de l’esprit, a fait imprimer en 1832 un volume de Pensées. Ce livre l’aurait placée très-haut parmi les moralistes, si sa modestie lui eût permis de le répandre dans le commerce.

L. LOUVET.

Biogr. Univ. et port, des Contemporains. — Quérard, La France littéraire. -- Louandre et Rnurquoiot. La Littérature française contemporaine. — Dict de la Conversation, Suppl. a la ire édition. — Liste méthodique des ouvrages publiés par le professeur Fée, !n-4°. FÈFRK (Saint). Voy. Fiacre.

FEHtiiNG {Henri-Christophe), peintre allemand , né à Sangerhausen, en 1653, mort en 1725. Élève et parent de Botschild , il suivit ce maître à Rome, où il séjourna pendant quelques années. 11 fut rappelé en Allemagne, à Dresde, par l’électeur Georges IV. Augtsste ï*" lui confia la direction de l’Académie, et en 1707, après la mort de Botschild , les fonctions d’inspecteur du Musée. Fehling peignit des plafonds dans le palais de l’électeur et dans celui du prince Lubomirski.

TMagler, Nenes Allçi. KilnstL-I^exic. |i, ;FEHR {Jean-Blichel), médecin allemand, né le 9 mai 1601, mort le 15 novembre 1688. Il étudia à Schweinfurt, et reçut à Leipzig son instruction médicale. Il fut nommé directeur du laboratoire de chimie à Dresde. En 1639 il se rendit à Altdrf ; de ;là 11 passa en Italie, où il fut FEI 2G0

reçu docteui* à Padôuè, en î 641. A âott retour en Allemagne, il s’établit à Schweinfurt, devint, sous le nom (VArgonauta, membre , puis président de l’Académie des Curieu.x de la Nature. En 1686, il fut nommé médecin de l’empereur Léopold. On a de lui : Anchora sacra, seu de Scorsonera ; Breslau> 1664, in-8o ; ^ Hiera Fiera, seu de Absinthio analecta ; hé)7Àg , 1667, in-8o ; --^ Epistolse mutua’. Argonâutee ad Nestorem ; Vienne, 1677, in-â". C’est la correspondance de Fehr avec Welsch. Biographie médicale. — Rloy, Dict, de Méd. FEHR ( Jean- Laurent), fils du précédent, médecin allemand, né à Schweinfurt, mort dans cette ^illè, lé 22 septembre 1706. Comme son père, il fut médecin et membre de l’Académie des Curieux de la Nature, dans les mémoires de laquelle il a inséré un assez grand nombre d’observations.

Biographie médicale.

FEHR (Jean-Henri), médecin allemand du dix-huitième siècle. On a de lui : Dissertai’td de Calculo vesicœ ejusque pCr sectionem niiferendi methodo ; 1716, in-4o. L’auteur se prononce pour le procédé de Rau ; dont il fait iadé.scriptlon.

Callisen, Med.-Lex.

PïîSHliE ( Chrétien- Auguste) , poëte allemand, né le 25 mars 1744, mort le 29 août 1823. Il fit ses premières études à Altehbourg et celles dè-i di-oit à Leipzig. Il plaida ensuite à Pirna , à Cîiemniiz, à Dresde, devint procureur de la chambre en 1781 et des finances en 1784. Dé 1797 à 1817, il fut chargé d’administrer les do» niaines de Gorlitz. On â de lui : des Poésies de circonstance et autres, publiées dans plusieurs recueils, tels que les Fides de Leipzig, 1768 et 1769, et dans VAnlholdgia de Schmid ; Leipzig, 1770, 1. 1.

Scîimid, Ànthol. der Deutsch.

FEHRS5ANN (Daniel), médailleur Suédoii né à Stockholm, en 1710, mort en Ï780. Il ed pour maître le célèbre Hedlinger, qu’il accoini pagnâ en Russie et en^ Danemark. A Son retous dans sa patrie, il lut attaché comme graveur âïà| monnaie de Stockholm. Il grava en artiste babîlêj une grande quantité de médailles, d’armoiries, eiM Son fils devint également un médailleur remât^j quàble.

Naglcr, Neves Allg. Kimstl.-Lexic. — Hirsching,, Hist. liter. Handb.

  • IPEï (Alc^sandro), dit del Barbiére, peinli^j

de l’école florentine, né à Florence, en 1543, inôi Vers la fin du seizième .-siècle. Après avoir été]] disciple de Ridôlfo del Gliirlandajo et de Pietro] Francia, il devint le compagnon et sans dQUtéij aussi l’élève de Tommaso da Santo-Friano. W n’avait d’abord peint que des sujets de petite’ proportion ; mais bientôt il osa aborder la grande] [)ciniure, à ! ;;o.ue] !e semblait l’appeler une inlD’ gination brillante et féconde. Il peignit à fresqwe* de nombreuses compositions, qu’il enrichit del