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heureuse, que fais-tu ? »

Sudeva l’écoutait.

« Autrefois, dit-il tout pensif, j’ai entendu la voix de Nala, et je n’en ai point oublié le son.

— Oui, brahmane, dit Varshneya, souvent, en entendant Vahuka, j’ai cru entendre Nala.

— Mais, qui l’aurait défiguré ? Nala était le plus beau des hommes, et Vahuka est d’une extrême laideur.

— Vahuka est adroit à conduire les chevaux. Il faudrait mettre sa science à l’épreuve. Il est des vitesses que Nala seul obtenait de ses chevaux.

— Varshneya, dit le brahmane, dans quelques jours nous mettrons à l’épreuve la science de Vahuka. »

Il quitta la ville d’Ayodhya, mais quelques jours à peine étaient passés qu’il y revint. De nouveau, il