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ROMANS -'•'•"

Céleste 1 . • Mais ici nous touchons de aouveau à la mince cloison qui sépare la fantaisie artistique de

l'inspiration sacrée : ces recueils, certaine m

postérieurs de beaucoup aux écrits canoniques, passent pour tels cependant aux yeux des croyants rigides, «'t. en fait, les Avadânas sont au l><md- dhisme ce que sont au uéo brahmanisme les Pu rànas. C'estassez les caractériser d'un mot. L'ex- ploration D'en esl pas encore Eorl avancée, el il n'est pas probable qu'elle vaille, littérairement parlant, la peine qu'elle coûtera.

'.. — Romans

Il \ ,i forte apparence que li v ^ auteurs des trois principaux romans sanscrits furent, à peu de chose près, contemporains et vécurent au VIP siècle; toutefois une tradition indigène fait \ i\ re Subandhu avant Bâna, ce qui n'a rien d'impossible, et même avant Dandin, ce qui est peu vraisemblable, étant donné le caractère de la langue et du stj le. Mais ce critérium lui-même est bien peu sûr, et en somme, ici, le seul repère fixées! le uom de Bâna, l'auteur du Harsacarita (p. 248), qui vécut à la cour du roi < ' ri l larsa ou I l:u-;i\ ardhana.

1. i in en a cité un remarquable spécimen, plus haut,

p. 99, j i : 1 1- 1 m i les paraboles du re cem -m bouddhique.

On en signalera un .-mire-, non moins caractéristique, mais transporté sur la dans le chapitredu Théâtre p

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