Page:Henry - Les Littératures de l’Inde.djvu/217

Cette page n’a pas encore été corrigée

i i r.ii m, w \ i "A-PI il \\ \ Ml

terre jusqu'en ses plus profonds abîmes; rencon- trant le sage Kapila p. L97), ils l'accusent du vol; L'ascète indigné les réduil en cendres d'un seul re gard; pour célébrer leurs obsèques, il faut faire descendre du ciel la -aime ri\ ière < îangâ (le < range ; od y parvientà force d'austérités*, mais elle s'arrête d'abord sur la tête du dieu Çiva qui s'oppose à sa chute; enfin elle tombe sur la terre en cataracte éblouissante el entraîne les restes des fils de Sagara à l'Océan, qui par cette rai-. m esl «lit Sagara. Lé- gendes de Rama (p. 162 . de Nimi (fondée sur un jeu de mots), d'Aila Purûravas, fils d lia et époux il l rvaçi (qu'on retrouvera dan- le théâtre bindou), de Paraçu Etâma (p. 118), d'Âyu, fils de Purûravas et Urvaçî.

Livre X. Visnu s'apprête à descendre sur terre bous l'avatar de Krsna. Mais il a été prédit à l'Asura Kamsa qu'il serai! détrôné par un de ses aeveux, et en conséquence il cherche à tuer tous les enfants de sa cousine Dêvakî. Pour échapper à ses em- bûches, Krsna passe toute son enfance parmi le> bergers, en tant que fils putatif de Nanda et de ôdâ, à qui l'a confié son père Vasudêva. Tout petit, il renverse un grand char sous lequel on l'avait couché; à qui le prend dan- ses bras il paraît toul a coup d'une pesanteur intolérable; il étrangle le démon Trnâvarta. Il invente dan- ses jeux toute sorte d'espiègleries : un jour que sa mère, pour le punir, veut l'attacher à un mortier, elle a beau

�� �