Page:Henri Poincaré - Théorie mathématique de la lumière, Tome 1, 1889.djvu/278

Cette page a été validée par deux contributeurs.
264
THÉORIE MATHÉMATIQUE DE LA LUMIÈRE

de la dérivée de ce produit sera nulle. On a donc

ou

puisque la valeur moyenne d’une somme est égale à la somme des valeurs moyennes des parties qui la composent.

2o  Si et sont deux fonctions périodiques de satisfaisant à

la fonction doit se réduire à une constante.

En effet, d’après la propriété précédente ou a

et par conséquent

Mais par suite de notre hypothèse, le premier membre de cette égalité est égal à et on a