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‘ D’E HENBI IV. 777 puis asseurer que"le trouverés entierement `disposé, tant pour mon 'service que pour l’afl’ection particuliere qu’il vousporte, comme il U m'a asseuré. Croyés donc, mon Cousin, tout ce que vous dira ou fera entendre mon dict cousin de Bouillon de mapart, comme si c’estoit moy-mesme :`et sur ceste asseurance je prieray Dieu qu’il ` vous ayt, mon Cousin,' en sa saincte garde. Escript à Mantes, le ‘XX1ll`]° jour de may 1593. . . . . . HENRY. _ i .. A i rornm. . '_ 1-593.-- zli MAI. -ll"‘°. ‘ . ` Orig. —— B. B. Fonds Béthune, Ms. 91 l5,- l`0l. 30. i A . I Cop.fB. Suppl. fr. Ms. 1009-s. . A MON COUSIN LE DUC DE NIVEBNOIS, . L . couvnmmcn 1212 mos msucrnmnr cmvnxm. ns cnxiiumcsm sr mm :. ` Mon Cousin, Par les dernieres lettres que']:-es habitans de ma ville de Langres m’0nt escriptes, ils me representant la necessite des gens de guerre, tant de cheval que de pied, qui sont en garnison en icelle, comme font en semblable les s" dé Grantpré et S*-Cheron, ce qui provient de faulte de payement : à quoyjedesireroys`, mon Cou- sin, qu’il Faust pourveu, et que, des assignations quy ont esté don- ` nées pour les gamisons de vostre gouvernement, ce qui se receoit au plus proche dé ma dicte ville de Langres Teust destiné pour le _ payement de la dicte garnison ; ce que je vous prie de faireexecuter, pour donner contentement aux d-icts gens de guerre et empescher qu’à Faulte de payement, les dicts habitans en-recoipvent incomme- dité. Je vous ay renvoyé les articles touchant la tre1`ve qulilsgont traictée et vous ay mande que, pour ce quiconcernoit le labouraige, je trouve bonce qui en avoit esté accbrdé soubs mon bon plaisir ; et pour le regard de la— levée des deniers, je vous ay pryé par la mesme depesche de veoir qu'il. ne se face rien en cela au prejudice de mon authorité ;-Les habitans de la dicte ville _m’ont servy lidel_e7 ment et leurs services sont dautant plus louables, pour estre voisins _ LETTRES DE .HENRI IV. ~— III. . i _