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' DE HENB1 IV. 693 _ [1592.] - 23 oc1 oBaE.— IIIm°. Orig. - B. B. Fonds Béthune, Ms. 9104, fol. 1A recto. ` Cop. — B. B. Suppl. fr. Ms. 1009-3. . A MON COUSIN LE DUC DE NIVEBNOIS ET DE RETHELOIS, ma nn rames, couvsmuaua nr mos Lrnucrsmur essaim. au cuxnumcns sr sms. I Mon Cousin, L’ad.vis que vous a donné le s' de Givry, lequel m’avés envoyé, n'esI ; certain, car le vicotnte d’Auchy vient d’arriver, A qui’st party dé Meaulx entre six et onze heures, et =y a laissé le duc du Mayne. Le bruict est qu’il en doibt partir demain. Si ainsy est, ` nostre dessein ne sera que fort à propos ; qui me fait vous prier, mon ' Cousin, de vous trouver au rendés vous à l’heure que je vous ay mande, et avec les trouppes et attirail que vous a dict de ma part le s' de Marivaulx. Je ne fauldray de m’y rendre : et sur ce, je prie Dieu, mon. Cousin, qu'il vous ayten sa garde. De S*-Denys, le xxnf oc- 4 tobre, à sept heures du soir. — p' HENRY. _ i rorxsn. .[l592.]—— zlifocrosms. » . Orîg. — B. B.iFomls Béthune, Ms. 910lx, fol`. 15. — Cop. — B. R. Suppl. fr. Ms. 1009-3, et` fonds Fontanieu, Ms. P 13, foi. g verso., Imprimé. — Mémoires de Nevers, t. II, p. 315. . L À MON COUSIN LE DUC DE NIVEBNOIS. Mon Cousin, Estant arrivé en ce lieu- cy, je trouvay que l’advis que je vous avois donné ce matin, que le duc' du Mayne devoit venir à Paris, estoit vray ; car il est arrivé sur les huict heures, avec trois ou quatre cens chevaulx et quelques gens de pied ; et sur les neuf heures y sont" arrivées les garnisons de Dreux et de Verneuil, qui peuvent estre de cent cinquante bons chevaulx ;/qui me faict changer d’advis. Tavois envie de vous voir demain icy ; mais il est à propos