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. DE HENRI IV. 667 entré du secours. Jepars presentement pour mhdvancer vers mes ennemys. Le rendés—vous de mon armée est à Jouarre, ou fadviseray du passage de la riviere, et du logis que je feray pour ce soir. N’estant la presente à aultre effect, je prie Dieu qu’il vous ayt, ` mon Cousin, en sa saincte garde. Eseript à Jouy, le vf jour de sep- tembre 1592. ‘ q HENRY. ` ’ . rouen. ` ‘Je vous prie, mon Cousin, de donner ordre que les maisons queoccupent Sainct- Pol et Baussant soient desmantelees. Q 1592. — 9 SÈPTEMBBE. ' Orig. — B. H. Fonds Béthune, Ms. 9109, fol. 69. . _Cop. —Snppl. fr. Ms. 1009-3, . Imprimé. - Mémoires de Nevers, t. II`, p. 305. _ A' MON COUSIN LE DUC DE NIVEBNOIS. I A Mon Cousin, Je vous escrivis le jour d’hier ; mais on mevient de rapporter que le messager a esté pris. Le duc de Mayenneest encore reculé et n'a pas les forces que l’on disoit. Il a, pour le plus, six cens chevaux ; et de trois mil hommes de pied qu’il avoit, enayant ' envoyé à Meaux, il peut luy en estre demeuré `deux mil cinq cens. Les nouvelles que j’ay du Pays-Bas portent que le duc de Parme est à Yextremité, qu’il a recullé la venue des forces qu’il faisoit assem- bler et remis son partement au xv? jour du mois prochain, mais on ne ' scait s’il pourra donner à sa vie un si long terme ; que le duc Maurice a pris le chasteau de Cowerden ‘, et dit on qu’il a deilaict les trouppes ' De la main du Roi. V, i ' C'est la forte place de Coevorden dans La mention de la prise de cette ville dans ' l'Over—Yssel, entre Groningue et Deventer. cette lettre du g septembre permettrait de ` 86-