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1 `. LETTRES iM IS'SlXêES jp . _ pouiiveoi'r.de'i *telle sorte qu_e ;en\È1 ecepvies contenteme’n1;î;.;»aiîiis)gî I _ Lpartiisulierementi nousavons faict èntendreaivos ilictsïle-Ã p, titeai, ` liesquels'nous nlavons peu vous jrenvoyeriplus tost, pour I Élg§andes aH’aires que nous avons eu depuis leur arrivée ; joinct qùej u, Ãpar l’isseue d'une, bataille, nous esperionstpourveoir de plus prompts Àgremedes sur vos dictes remonstrances. Ce pendant, nous escrivons nostre cousin le prince de Dombes qulil 's’avani :e avec les ljorcesi ` ï> qu’il a assemblées, pour s’opposer au dictuduc de Mercueur et vous soulager le plus qu’il luy sera possible. De vostre part, continues de l’assister et nous servir aux occasions qui se presenteront avecla mesme affection et lidelite que vous aves tousjours faict par le passé, comme nous voulons croire que Peres. Donne auicamp devant Rouen, le xxx° jour de mars 1592. ` ‘ HENRY. 1>o man. 19592. gsojgaîm. 11ç«. . L — Fondsbétbune, Ms. 9109, fol. 5/4. ` Cop ; -'Suppl. fr. Ms. 1009gB. Imprimé. -- Mémoires de Nevers, t. lI,—‘p. 296. . If? uv, V t l,.'A MON COUSIN LE D_UC DE NIVEBNOIS. -2 ~' .. D Mon Cousin, `Ayant donneau s' de Coma la charge de comman- -_ i dant, da1is ma ville delStenay, ietestant besoing de mettre en garni ; i .son dans’lma_ ville de Sm-Manehouljd quelque aultre en sa place, je? vous ayï bien voulu escrire ce mot" pour vous prier dly faire entrer , les" de Humbervert, l’gH’ection et vigilance duquel me sont assez cogneues, et m’asseure qu’il me servira fidelement : En cest endroict, jeiprie Dieu, mon Cousin, qu’il vous `ayt en sa saincte et dignegarde. I Du camp devant Rouen, le xxx° jour de mars 1592. ' HENRY, . A D 4 _, roman.