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P Q DE HENRI IV. 599 ' tenir prests pour monter a cheval au premier mandement que vous _i aures emo . evo a e ne eu es re ue our inze `ours au us ; . 'd yCys1>*¢’¤<1P<1¤1 Pl et ne vous manderay que bien à propos. Ifasseurance que j’ay que n’y ferés faulte m'empeschera de vous faire plus longue lettre_: priant Dieu, Mons' de Goville, qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde. _ Escript au camp devant Rouen, ce xxv11_]° jour de mars 1592. HENRY. ~ POTIER. ° l592.»— 29 Mans. -I"*. Cop. -'Archives municipales de Clermont-Ferrand. Copie transmise par M. Gonod, bibliothécaire de la ville. [A MON NEPVÉU LE COMTE DAUVEBGNE.] i Mon Nepveu, Depuis celle que je baillay hier à Vissouze, escripte de ma main, _i’ay eu advis que mes ennemys, craignant I’isseue du A sie e de Rouen et saichant ue "a licencié la lus art de ma caval- S (I J Y P P lerie, se resolvent de passer la riviere de Somme, pour venir à moy ; ce qui m’a faict aussyvtost resouldre de reman der les troupes de Nor- mandie et de Picardie, lesquellespartant de mon armée m’ont asseuré de.me venir trouver au remier mandement. Si mes ennem s sui- ( P Y vent ceste deliberation, je tiens pour certain que nous donnerons la bataille ; car auss -1;ost u'ils s’a rocheront, `e Ievera le sie e_ etira . Y (I PP J Y S Y droict à eulx. J e vous convierois à ceste bataille, 11'estoit que vous estes trop esloingne de moy, et que possible l’occasion sera passée avant qu’en soyés adverty. Il me suflit que vous pourvoyés ce pendant à ce qui est à faire en vostre gouvernement pour mon service, non selon lladvis de uel ues-uns ui sont rés de vous, ui n’aiment le bien (I (I (I P (I de mon dict service ny vostre honneur, mais par le conseil de mon cousin le duc de Montmorency et de ceulx qui sont mes serviteurs et) p qui aiment Yadvancement de mes affaires. Aulcuns de mes ofiiciers m’0nt adverty qu’il se passe beaucoup d’afI’aires` en vostre gouverne- ` ment, tant au fait de la justice qu’aux finances, ou les formes accous-