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DE HENRI IV.' 5Ãtl i q`|.1ll 3 CICPUIS DICD SCCII gd.I’d€I"COIliÉI`¢3—`iÉOl1`i.€ SCH BTDIBB, (Ill] S_CI] est enfin retirée, de sorte _qu’il est- maintenant entoute liberté de me i venir trouver, comme je luy mande qu’il face`. Ceporteur suppleera ~ à vous donner compteides aultres particularitez deinostre siege. Il ' _ vous dira aussy comme Fassignation qu’il poursuivoit icy en vostre noni luy a esté ordonnée sur les deniers de ma recette generale de Languedoc. Si. vous y desirés quelque chose davantage, me le faisant sçavoir jey feray pourveoir, c’est ce que je vous diray pour ceste Fois zisur ce, _je prie'Dieu, mon Cousin, vous conserver en sa saincte ~ garde. Escript au camp devant Rouen, ce _l1 ]e janvier .1592. . i — i i i renom. i ` _` l592. #-3 JANv1En.+II‘“è'. i imprimé. — Mémoires de messirc Philippe de Mornay, 162/4, in-Ii', t. II, p. 165. p _. ‘, A MONS" DU PLESSIS. Mons' du Plessis, J’ay receu vostre lettre de Dieppe 1 et veu la conference que vous aves eue avec le personnage qui siy estoit ren- contre venant de delà “.. Vous estes tesmoing, par lioilice que vous avés faict de ma part pourpersuader ce que l'on desire de celuy qui est icy, qu’il n’a tenu à moy qu’il ne s’y soit resolua ; et_ vouldrois bien i u’il l’eust faict ne ouvant ue orter beaucou de re ret du _ (l _. ~ P A P i I`(l3lCOIli.€Il’i€IIlBDlà dOl'liL S3 dCI'l’l€l1I’C Paf est CHIISCAQ l'll3.'lS IDH _' Plessis Mornay venait d°être char- i ° Dans _le“ récit de cette négociation, gé, auprès d'Elisabeth, d’une négociation Mornay raconte avoir d’abord remontré dontil nousa laissé un récitplein d’intérêt. au Boi«_qu'il nvferoitrien s’il ne renvoyoit L'ob_jet de cette mission était dobtenir un . le comte d’Essex. Tant qu’enfin il lui com- nouveau secours de cettereine, que lé re- lmanda de voir avec lui _s’il pourroit l’yi in- i tour du comte d’Essex en France ; malgré "duire, à quoy il tascha par plusieurs rai : sa volonté, mettaitalors dans les plus mau- sons ;maisle dict sieur comte iiy peut estre vaises dispositions envers la France. esmeu, alleguant qu'i] lui seroit trop pre- 4 i' Leighton,. oncle du comte d'Essex, judiciable de sortir de France quandle duc qui venaitdarriver ài Dieppe pour essayer de Parme y entroit. » ‘ _ de faire revenir sonneveu 'à` Londres. " uîfabsence du dit seigneur comte.